La Musarde a été cofondée en 2018.
Avec Mélusine Thiry comme porteuse de projet, la compagnie fait à présent peau neuve en Ariège.
S’inscrivant dans les arts associés de la marionnette, la compagnie se dessine un chemin singulier à travers les arts plastiques, la musique et le corps.
Cherchant les points d’équilibres entre ces trois disciplines, j’écris mes spectacles comme on écrit des poèmes, avec l’enfance au cœur.
En puisant dans ce lieu sans âge ni raison je construis mes récits par strates, en jouant à faire deviner.
Quand les ombres, les flous et les matières s’additionnent et confondent l’image, celle-ci se transforme en intrigue. Il en est de même au plateau, quand les corps, la lumière, l’image, la musique et les objets sèment des indices qui racontent une histoire sans la dire.
Développer un langage fait d’évocations, c’est brouiller les pistes pour distancier la raison et laisser toute la place à l’imaginaire.
C’est aussi laisser émerger le mystère nécessaire à toutes formes poétiques.
