Conçue comme de gigantesques tableaux en mouvements, Les masques de l’Invisible nous propose un voyage suspendu entre fils de fer et papiers découpés dans lequel des lumières se déplacent lentement pour faire danser les ombres avec des reflets, des lueurs avec des couleurs, des images avec la pesanteur et des miroirs avec des éclats qui s’envolent ici et là. Une musique accompagne en douceur cette déambulation onirique où d’étranges animaux se mêlent à de mystérieux personnages masqués.