Le Petit Personnage et le mouvement des choses est un spectacle de mouvement et d’images tout public à partir de 6 ans, durée 45mn, jauge 150 à 200 selon les salles.
Ce spectacle interroge les difficultés à accepter les transformations que le temps opère en chacun de nous, tout en célébrant les plaisirs et les joies d’inventer.
Le Petit Personnage se sert de ses pouvoirs magiques pour créer un monde parfait. Mais pour qu’il soit vraiment parfait, rien de doit jamais changer ! Dans ce monde où règnent le mystère, les êtres étranges, les étoiles et l’amour, le Petit personnage congédie tour à tour le changement, le temps qui passe puis le mouvement des choses… Mais alors, comment se fait-il que le sol se dérobe sous ses pieds ?
- Équipe de création
- Création, interprétation, construction d’objets et bricoles diverses Sarah Darnault
- Création, écriture, manipulation d’images, ombres et lumières Mélusine Thiry
- Accompagnement à l’artistique, la dramaturgie et la mise en scène Isabelle Ployet
- Sur des musiques de Gavin Bryars
Coproductions : Espace Roguet – Conseil Départemental de la Haute-Garonne (31), L’Usinotopie (31), Théâtre Jules Julien (31), Odyssud/Blagnac – Scène conventionne Art et Enfance Jeunesse (31) Soutiens : Marionnettissimo (31), Odyssud/Blagnac – Scène conventionnée Art et Enfance Jeunesse (31), Espace Job (31), Mix’art Myrys (31), Cité de Sorrèze (81), La Négrette – Communauté de communes Grand Sud Tarn et Garonne (82), Théârte de la Brique Rouge/Bazacle (31), La Gare aux Artistes (31), Théâtre Le Colombier (81)
» Dans ce monde, pour commencer, il faudrait le mystère. Celui qui se cache dans les racines des arbres, qui est enfoui entre les mousses ou qui repose sous les lourdes pierres qui ont connu l’enchanteur. Ensuite, Il faudrait des êtres étranges. Je parle de ces êtres qui viennent du fin fond des temps, de ceux qui ont vu les premières étoiles s’allumer, de ceux qui ont vu la Terre accoucher d’elle-même. Oui, ici, ce serait tous les secrets! Et au milieu se trouverait le sauvage. Le sauvage des grands espaces dans lesquels les yeux luisent la nuit, là où les tiédeurs moites sentent la course folle, là où les antres grognent et où les flaques se lapent à coups de langues. »